1. Résiliation du bail :
- La renonciation volontaire d'un véhicule loué lors d'une faillite est considérée comme une résiliation du bail.
2. Frais de résiliation anticipée :
- Votre contrat de location comporte probablement des dispositions de résiliation anticipée, y compris des frais et des pénalités. Vous pourriez être redevable de ces frais même après une faillite.
3. Paiements de location restants :
- La société de leasing peut demander le paiement des loyers restants que vous auriez été obligé d'effectuer.
4. Disposition du véhicule :
- La société de leasing peut vendre ou céder le véhicule pour récupérer ses frais.
5. Solde déficitaire :
- Si le produit de la vente du véhicule est inférieur au montant que vous devez sur le bail, la société de crédit-bail peut demander un « solde déficitaire ». Il s’agit de la différence entre le produit de la vente et l’obligation de location restante.
6. Protection contre la faillite :
- Selon le chapitre de faillite que vous avez déposé et les termes du contrat de location, votre bail peut être considéré comme un contrat exécutoire. Les contrats exécutoires peuvent faire l'objet d'un rejet ou d'une prise en charge au cours du processus de faillite, ce qui pourrait affecter votre responsabilité.
7. Réponse du créancier :
- La société de leasing peut vous solliciter pour régler la dette. Ils peuvent proposer un montant de règlement négocié inférieur au solde déficitaire total.
Il est important de noter que les lois et réglementations en matière de faillite peuvent varier et que les contrats de location peuvent comporter des conditions spécifiques qui peuvent avoir un impact sur votre situation. Il est recommandé de consulter un avocat spécialisé en faillite pour comprendre vos droits et responsabilités concernant votre véhicule loué et le processus de faillite.