Guerre de tranchées : Pendant la Première Guerre mondiale, les champs de bataille en France étaient caractérisés par de vastes systèmes de tranchées. Les véhicules blindés à roues avaient du mal à naviguer dans les tranchées et sur le terrain accidenté qui les entourait. Les roues pourraient rester coincées dans la boue ou s'emmêler dans les barbelés, les rendant vulnérables aux tirs ennemis.
Boue : Les champs de bataille en France pendant les deux guerres mondiales étaient souvent boueux et humides. Le poids élevé des véhicules blindés pourrait les faire s’enfoncer dans la boue, les rendant immobiles et des cibles faciles.
Artillerie et armes antichar : L'utilisation croissante de l'artillerie et des armes antichar pendant la Seconde Guerre mondiale constituait une menace importante pour les véhicules blindés à roues. Les roues et les pneus étaient particulièrement vulnérables aux dommages causés par les tirs d'obus, qui pouvaient immobiliser ou désactiver le véhicule.
Fiabilité : Les véhicules blindés à roues de l’époque n’étaient pas aussi fiables que les véhicules à chenilles. Ils étaient plus sujets aux pannes mécaniques, surtout lorsqu'ils étaient soumis aux conditions difficiles du champ de bataille.
Terrain : Les véhicules blindés à roues fonctionnaient mieux sur un terrain plat et ouvert. Cependant, de nombreux champs de bataille en France présentaient un terrain accidenté, notamment des collines, des forêts et des rivières, ce qui entravait la mobilité des véhicules à roues.
Malgré ces défis, les véhicules blindés à roues étaient encore utilisés dans divers rôles au cours des deux guerres mondiales. Ils assuraient des missions de reconnaissance, de reconnaissance et de sécurité et étaient parfois utilisés pour des tactiques de délit de fuite. Cependant, leur efficacité était souvent limitée par le terrain et les défenses ennemies.
Avec le développement de véhicules blindés à chenilles plus performants et plus polyvalents, tels que les chars, l'utilisation des véhicules blindés à roues a diminué au cours des dernières étapes des deux Guerres mondiales. Les véhicules à chenilles offraient une meilleure mobilité et protection, ce qui les rendait plus adaptés aux conditions de plus en plus exigeantes de la guerre moderne.